CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE

Rudolph Debbler SCHWEDE Fleisch GmbH & Co. KG
Rue Peter 24 – 26
D-49134 Wallenhorst

Téléphone : +49 (0) 5407 – 830 00
Courrier électronique : info@schwede.com

Conditions de vente et de livraison

1. généralités
1. Toutes les conclusions de contrat avec nous sont basées sur les conditions suivantes. Elles font juridiquement partie intégrante du contrat pour l’ensemble de nos relations commerciales et sont reconnues comme contraignantes par l’acheteur lors de la passation de commande. Nous ne reconnaissons pas les conditions générales de vente, les accords annexes et les modifications qui s’en écartent et nécessitent dans tous les cas notre confirmation expresse par écrit pour être valables.

2. pour le reste, la confirmation de vente règle définitivement la relation juridique entre nous et le vendeur. Les accords annexes oraux et les modifications ultérieures ne sont contraignants que si nous les avons confirmés par un avenant écrit à la confirmation de vente.

Toute objection au contenu de la confirmation de vente doit être formulée par écrit et nous parvenir au plus tard à la fin du jour ouvrable suivant la réception de la confirmation de vente. Après cette date, la confirmation de vente est définitivement valable.

3. nos conditions de vente et de livraison ne s’appliquent qu’aux entreprises au sens de l’article 14 du Code civil allemand (BGB).

4. si certaines parties des conditions sont ou deviennent caduques, la validité des autres conditions de vente et de livraison n’en est pas affectée. La condition inefficace doit être remplacée par une condition qui se rapproche le plus possible de l’objectif économique du contrat et dont l’accord est juridiquement admissible.

II. Lieu d’exécution, juridiction compétente, droit applicable, langue du contrat
1. Le lieu d’exécution pour les deux parties en ce qui concerne toutes les obligations est Wallenhorst.

2. pour toutes les revendications présentes et futures résultant de relations commerciales avec des commerçants et des personnes morales de droit privé et de droit public, il est convenu que le tribunal d’Osnabrück, République fédérale d’Allemagne, sera seul compétent. Nous sommes également en droit de poursuivre l’acheteur devant d’autres tribunaux compétents.

3. le droit applicable est celui de la République fédérale d’Allemagne ; l’application de la Convention des Nations Unies sur les contrats de vente internationale de marchandises est exclue.

4. la langue contractuelle déterminante est l’allemand.

III Livraison, retard de livraison et réception
1. La livraison s’effectue au départ de notre entrepôt frigorifique à l’heure de chargement prévue, en principe hors taxe compensatoire d’abattoir et autres taxes annexes. Les délais de livraison que nous indiquons sont sans engagement, sauf s’ils sont expressément qualifiés de fermes. Elles sont soumises à la condition résolutoire de l’approvisionnement correct et ponctuel par nos soins. L’accord de livraison “rapide” nous oblige à livrer dans les 14 jours suivant la conclusion de la transaction ; dans le cas d’une transaction à l’étranger ou outre-mer, on entend par là le chargement ou l’embarquement dans le pays d’origine dans les 21 jours. Le respect du délai de livraison est subordonné à l’exécution des obligations contractuelles de l’acheteur. Si un délai de livraison que nous avons promis de manière ferme est dépassé, l’acheteur doit nous fixer par écrit un délai supplémentaire raisonnable d’au moins sept jours. Après l’expiration de ce délai supplémentaire sans résultat, l’acheteur ne peut prétendre à des dommages et intérêts que si le retard est dû à une faute intentionnelle ou à une négligence grave. Les circonstances qui rendent impossible ou excessivement difficile la livraison de la marchandise commandée ou vendue, de même que tous les cas de force majeure, les mesures administratives, les perturbations de l’exploitation et autres, même s’ils sont imputables à nos fournisseurs, nous libèrent de notre obligation de livraison pour la durée de l’empêchement ou de ses effets ultérieurs.

2. nous sommes autorisés à effectuer des livraisons partielles dans une mesure raisonnable.

3. en cas de contrôle officiel des marchandises que nous avons livrées, nous devons en principe être en mesure de procéder à un contre-contrôle en désignant un contre-expert ou en laissant des échantillons originaux.

VII Réserve de propriété
1 . Nous nous réservons la propriété des marchandises que nous avons livrées jusqu’au paiement intégral du prix d’achat. Cela vaut également lorsque certaines ou toutes nos créances ont été intégrées dans un compte courant et que le solde est tiré et reconnu. Si l’acheteur est une personne morale de droit public ou un commerçant pour lequel le contrat fait partie de l’exploitation de son activité commerciale, la réserve de propriété s’applique expressément aussi aux créances que nous avons sur l’acheteur dans le cadre de nos relations commerciales en cours, y compris toutes les créances accessoires (en cas de paiement par chèque ou par traite, jusqu’à l’encaissement du chèque ou de la traite). L’acheteur doit traiter et stocker la marchandise sous réserve de propriété de manière appropriée et l’assurer, sauf si elle est destinée à une utilisation immédiate ; s’il ne respecte pas ce devoir de diligence, il est responsable des dommages qui en résultent.

2. l’acheteur n’est pas autorisé, jusqu’au paiement intégral du prix d’achat, à mettre en gage les marchandises au profit de Drille ou à en transférer la propriété à titre de garantie. En cas d’intervention de tiers dans nos droits de garantie, en particulier en cas de saisie, il doit nous en informer immédiatement par écrit et prendre en même temps spontanément des mesures pour éviter de telles interventions. Les coûts de telles mesures ainsi que les coûts des processus d’intervention que nous avons engagés sont à la charge de l’acheteur.

3. si l’acheteur a cédé à l’avance à des tiers la marchandise sous réserve de propriété ou les objets touchant par ailleurs son entreprise, ou s’il les a grevés d’autres droits de tiers ou s’il a disposé de ses créances résultant de ventes, notamment par cession globale, il doit nous en informer avant la livraison. Dans ce cas, nous sommes libérés de nos obligations de livraison. Si l’acheteur prend livraison de nos marchandises sans nous informer desdites dispositions préalables, il n’est pas autorisé à transformer et à vendre les marchandises.
4. si la marchandise livrée sous réserve de propriété est combinée ou mélangée à d’autres objets, le vendeur acquiert la copropriété du nouvel objet ou du stock mélangé.
3. l’acheteur est autorisé à conserver la marchandise sous réserve de propriété pour nous. Il est également autorisé à vendre la marchandise sous réserve de propriété ou le produit fabriqué à partir de celle-ci dans le cadre d’une activité commerciale régulière. Si les marchandises livrées sous réserve de propriété ou les objets fabriqués à partir de celles-ci sont revendus ou transformés par l’acheteur, quel que soit leur état, l’acheteur nous cède d’ores et déjà, jusqu’à l’extinction complète de toutes nos créances résultant de la livraison des marchandises, les créances qu’il détient à l’encontre de son acheteur ou de tiers, résultant de la vente ou à l’occasion de la transformation, avec tous les droits annexes et un rang supérieur au reste. Nous acceptons la cession. Si un nouvel objet ou stock obtenu par combinaison ou mélange est revendu ou transformé, la cession s’étend au montant correspondant à la valeur facturée de la marchandise sous réserve de propriété. L’acheteur est autorisé à recouvrer ces créances pour notre compte. Notre droit de recouvrer nous-mêmes les créances n’en est pas affecté. Nous nous engageons toutefois à ne pas recouvrer les créances tant que l’acheteur s’acquitte correctement de ses obligations de paiement à notre égard. Si tel n’est pas le cas, l’acheteur doit, à notre demande, nous indiquer les débiteurs des créances cédées, leur notifier la cession et nous remettre les documents nécessaires pour faire valoir les créances cédées. A partir du moment où nous interdisons le recouvrement des créances cédées, l’acheteur ne peut plus accepter de paiement.

6. le droit de propriété est également valable à l’égard du transporteur et du transitaire auxquels les marchandises ont été remises à la demande de l’acheteur ou sur notre initiative.

7. si l’acheteur ne respecte pas ses obligations découlant de cette transaction ou d’autres transactions, ou si sa situation financière se détériore considérablement, nous sommes en droit de prendre directement possession de la marchandise dont nous sommes propriétaires, sans avoir recours au tribunal et après mise en demeure. A cette fin, l’acheteur doit autoriser à tout moment l’accès à ses locaux commerciaux et à ses entrepôts. La marchandise reprise sera créditée par l’acheteur, à notre choix, aux prix facturés ou aux prix en vigueur le jour de la reprise, déduction faite de 25% pour le manque à gagner et pour les frais de livraison, plus les frais de reprise. Une déduction supplémentaire est effectuée si la marchandise n’est plus à l’état neuf. Nous sommes également autorisés à réaliser la marchandise sans être liés par les dispositions légales relatives à la vente en gage. L’acheteur conserve le droit d’apporter la preuve qu’aucun dommage n’a été subi ou que le dommage est inférieur à 25%.

8) Si, dans le cadre du paiement du prix d’achat par l’acheteur, une responsabilité sous forme de traite est établie pour nous, la réserve de propriété ainsi que la créance de livraison de marchandises sur laquelle elle repose ne s’éteignent pas avant l’encaissement de la traite par l’acheteur en tant que tiré.

9. si la valeur des garanties existantes dépasse de plus de 20% les créances à garantir, nous sommes tenus, à la demande de l’acheteur, de libérer les garanties dans cette mesure.

VIII. Emballages vides
Lors de la livraison, l’acheteur est tenu de mettre à disposition des emballages vides de même type et de même quantité que ceux correspondant à la livraison. Les emballages vides doivent être remis nettoyés, dans le respect des règles d’hygiène. Si l’acheteur n’est pas en mesure de remettre les emballages vides lors de la livraison, il doit veiller à les restituer dans un délai de sept jours. S’il est en retard dans la restitution, nous sommes en droit, après avoir fixé un délai supplémentaire raisonnable, de refuser la reprise et d’exiger des dommages et intérêts. Un relevé des emballages vides en souffrance transmis à l’acheteur est considéré comme accepté s’il ne le conteste pas dans un délai de sept jours. Situation au 28.08.2012 (MS)